Reportage

Capital – Dans le Lot-et-Garonne, pas de bonnet d’âne à l’école des bourricots

A l’Ecole nationale des ânes maraîchers (Enam), en Lot-et-Garonne, la fine fleur des bourricots et des agriculteurs font l’apprentissage, en tandem, d’un labour de haute-précision, pas cher et « écolo ».

Sur cinq hectares de prairie, une dizaine de baudets triés sur le volet accompagnent ces maraîchers de tous âges qui préfèrent l’âne travailleur au tracteur.

Les qualités requises pour intégrer la voie royale de l’Enam ? Pour l’animal, « un bon mental et une morphologie costaud, 300 kilos pour 1,30 mètre de haut », explique Pascal Sachot, directeur de l’Enam.

Côté humain, une saine motivation et 273 euros suffisent pour trois jours « d’initiation à la traction asine » dans cette ferme-école de Villeneuve-sur-Lot, unique en France.

D’emblée, le directeur de l’établissement tord le cou aux idées reçues: « l’âne n’est ni bête, ni têtu! ».

– « Major de la promo » –

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